Après 5 sortie de course à pied, vive douleurs… et merde!!!! fissure horizontale du ménisque!

Marcher, courir, sauter ou même simplement se lever sont des habitudes que nous devons tous prendre dans notre vie quotidienne. Cependant, des défauts dans les tissus composant l’articulation du genou peuvent altérer radicalement notre capacité à accomplir ces actions simples.

L’articulation du genou est constituée de l’interaction entre les os (fémur, tibia et rotule), les tendons, les ligaments et les deux ménisques (latéral et médial) afin d’assurer la fluidité des mouvements du corps. Le ménisque correspond à un tissu fibrocartilagineux en forme de croissant, qui se trouve dans l’articulation du genou entre les condyles fémoraux et le plateau tibial.

Il joue un rôle essentiel dans la stabilité de l’articulation du genou. Cependant, il est assez vulnérable et des déchirures peuvent donc se produire dans ce tissu et compromettre le bon fonctionnement du genou. Récemment, de nombreux efforts ont été déployés afin de trouver des solutions pour réparer et régénérer le ménisque, soutenus à la fois par des chercheurs en bio-ingénierie et des chirurgiens orthopédiques. Cependant, en raison de sa faible capacité de cicatrisation et de sa structure complexe, la reconstruction du ménisque reste particulièrement difficile.

Le ménisque, un petit mais crucial morceau de cartilage en forme de croissant situé dans le genou, peut être sujet à diverses blessures et affections. Parmi celles-ci, la fissure horizontale du ménisque est l’une des plus courantes et peut avoir un impact significatif sur la mobilité et le confort d’une personne. Dans ce blog post, nous explorerons en profondeur ce problème, des symptômes aux traitements disponibles.

Comprendre la Fissure Horizontale du Ménisque

Le ménisque joue un rôle essentiel dans la stabilité et l’amortissement du genou. Lorsqu’une fissure horizontale se produit, cela signifie qu’une déchirure s’est produite parallèlement à la surface du ménisque, plutôt que verticalement ou radialement. Cette blessure peut survenir soudainement à la suite d’un mouvement brusque du genou ou se développer progressivement en raison de l’usure et de la dégénérescence du cartilage.

Symptômes

Les symptômes d’une fissure horizontale du ménisque peuvent varier en fonction de la gravité de la blessure, mais ils incluent généralement :

Douleur : La douleur peut être ressentie à l’intérieur ou à l’extérieur du genou, selon l’emplacement de la fissure.
Gonflement : Le genou peut devenir enflé, surtout après une activité physique ou en position assise prolongée.
Blocage du genou : Une sensation de blocage ou de verrouillage du genou peut survenir, limitant la capacité à étendre ou à fléchir complètement le genou.
Crépitation : Une sensation de craquement ou de crépitation peut être ressentie lorsque le genou est en mouvement.

Causes

Plusieurs facteurs peuvent contribuer au développement d’une fissure horizontale du ménisque, notamment :

Traumatisme : Un mouvement brusque, une torsion excessive ou un impact direct sur le genou peuvent causer une déchirure du ménisque.
Âge : Avec le vieillissement, le cartilage du ménisque peut s’affaiblir et devenir plus sujet aux déchirures.
Activités répétitives : Les activités qui impliquent des mouvements de torsion ou de flexion fréquents du genou peuvent augmenter le risque de blessure au ménisque.

Le traitement d’une fissure horizontale du ménisque peut varier en fonction de la gravité de la blessure et des besoins individuels du patient. Les options de traitement peuvent inclure

Méthodes conservatrices

Repos, application de glace, élévation du genou, et utilisation de médicaments anti-inflammatoires (Volatren) pour réduire la douleur et l’enflure.

Thérapie physique

Des exercices de renforcement musculaire et de flexibilité peuvent être prescrits pour aider à stabiliser le genou et à améliorer sa fonction.

Extensions de quadriceps

Asseyez-vous sur une chaise avec les pieds à plat sur le sol. Étendez lentement un genou en soulevant la jambe vers le haut tout en maintenant le dos droit. Maintenez cette position pendant quelques secondes, puis abaissez la jambe. Répétez avec l’autre jambe. Cet exercice renforce les muscles quadriceps à l’avant de la cuisse, ce qui est essentiel pour la stabilité du genou.

Flexions de jambes

Tenez-vous debout avec les pieds à la largeur des épaules. Pliez lentement les genoux pour descendre en position accroupie, en gardant les genoux alignés avec les pieds. Assurez-vous de garder le dos droit et de descendre aussi bas que possible tout en restant confortable. Remontez ensuite en position debout. Cet exercice renforce les muscles des cuisses et des fessiers, ce qui aide à stabiliser le genou.

Extensions de jambes allongé

Allongez-vous sur le dos avec une jambe pliée et l’autre jambe tendue. Soulevez lentement la jambe tendue vers le plafond, en contractant les muscles de la cuisse. Maintenez cette position pendant quelques secondes, puis abaissez la jambe. Répétez de l’autre côté. Cet exercice renforce les muscles des quadriceps et aide à améliorer la stabilité du genou.

Flexions de hanche

Tenez-vous debout avec les pieds à la largeur des épaules. Pliez légèrement les genoux et penchez-vous légèrement en avant au niveau des hanches. Ramenez lentement le torse vers l’arrière en étendant les hanches et en poussant les fesses vers l’arrière. Gardez le dos droit et les genoux légèrement fléchis. Cet exercice renforce les muscles des fessiers et des hanches, ce qui peut aider à stabiliser le genou.

Étirements des ischio-jambiers

Asseyez-vous sur le sol avec une jambe tendue devant vous et l’autre jambe pliée. Penchez-vous lentement en avant en gardant le dos droit jusqu’à ressentir un étirement dans l’arrière de la cuisse de la jambe tendue. Maintenez cette position pendant 20 à 30 secondes, puis relâchez. Répétez de l’autre côté. Cet exercice aide à améliorer la flexibilité des ischio-jambiers, ce qui peut réduire la tension sur le genou.

Il est important de noter que ces exercices doivent être effectués avec une bonne technique et dans les limites de confort de chaque individu. Si vous ressentez une douleur ou un inconfort pendant l’exercice, arrêtez-vous immédiatement et consultez un professionnel de la santé. En outre, il est recommandé de consulter un professionnel de la rééducation physique ou un physiothérapeute pour obtenir un programme d’exercices personnalisé en fonction de vos besoins et de votre condition physique.

Injections intra-articulaires

Les injections intra-articulaires sont une option de traitement pour certaines affections du genou, y compris les fissures horizontales du ménisque. Ces injections impliquent l’administration de médicaments directement dans l’articulation du genou pour soulager la douleur, réduire l’inflammation et améliorer la fonction articulaire. Les principaux types d’injections intra-articulaires utilisés dans le traitement des problèmes de genou comprennent:

Corticostéroïdes

Les injections de corticostéroïdes contiennent des médicaments anti-inflammatoires puissants qui peuvent réduire l’inflammation dans l’articulation du genou. Ces injections peuvent fournir un soulagement temporaire de la douleur et de l’enflure associées à une fissure horizontale du ménisque. Cependant, leur efficacité peut varier d’un individu à l’autre, et ils ne sont généralement pas recommandés pour un usage à long terme en raison de leurs effets secondaires potentiels, tels que l’atrophie cutanée et la dégradation du cartilage.

Corticoïdes

Certains types de lésions méniscales peuvent être traités sans recourir à la chirurgie, notamment par une injection intra-méniscale de corticoïdes. Les corticoïdes, dérivés de la cortisone, ont diverses actions sur le corps et sont naturellement sécrétés par les glandes surrénales. L’une de leurs fonctions est de favoriser la fibrose des tissus, ce qui peut contribuer à assécher la partie lésée du ménisque et à colmater la fissure.

Ce traitement est généralement recommandé pour les lésions méniscales graves qui ne répondent pas aux traitements conventionnels. L’infiltration intra-méniscale est particulièrement efficace pour les lésions dégénératives, c’est-à-dire celles qui progressent. En revanche, elle est moins efficace, voire non recommandée, en présence d’un gros fragment de ménisque déplacé.

L’administration de cette injection se fait facilement en consultation et est généralement indolore, ne nécessitant pas d’anesthésie. Elle peut être guidée par échographie, bien que son exécution puisse se faire par repères anatomiques avec de l’expérience.

Après l’injection, aucune restriction particulière n’est imposée dans la vie quotidienne. Cependant, la pratique sportive est déconseillée pendant environ 10 jours. Les résultats sont souvent rapides, durables et définitifs dans de nombreux cas. En cas d’amélioration partielle, une seconde injection peut être envisagée après un mois.

Acide hyaluronique

L’acide hyaluronique est une substance naturellement présente dans le liquide synovial des articulations, qui agit comme un lubrifiant et un amortisseur. Les injections d’acide hyaluronique sont conçues pour augmenter la viscosité du liquide synovial, ce qui peut améliorer la lubrification de l’articulation et réduire les frottements et les douleurs associées aux mouvements. Ces injections sont souvent utilisées pour traiter l’arthrose du genou, mais elles peuvent également être envisagées dans le cadre d’un plan de traitement pour les fissures horizontales du ménisque.

Plasma riche en plaquettes (PRP)

Le plasma riche en plaquettes est une technique qui utilise le propre sang du patient pour stimuler la guérison des tissus endommagés. Lors d’une injection de PRP, un échantillon de sang est prélevé puis centrifugé pour isoler les plaquettes riches en facteurs de croissance. Ce concentré de plaquettes est ensuite injecté dans l’articulation du genou pour favoriser la régénération des tissus et accélérer le processus de guérison.

Bien que la recherche sur l’utilisation du PRP pour traiter les fissures horizontales du ménisque soit encore en cours, certaines études suggèrent qu’il pourrait être bénéfique pour réduire la douleur et améliorer la fonction articulaire.

Chirurgie

Dans les cas où les méthodes conservatrices ne fournissent pas de soulagement adéquat, une intervention chirurgicale, comme une réparation arthroscopique du ménisque, peut être recommandée pour réparer la déchirure.

Mon expérience

Arrivé à 8:30 du matin, un docteur vous demander quelle jambe et vous marquera la jambe visuelement au marqueur histoire de ne pas se tromper.

Départ en salle de préparation à 10:30 pour une bonne heure de préparation à la péridurale dorsale, mise en place de la perfusion, mise sous monitoring scope. Elle met environ 15-20min à agir mais cela dépend de beaucoup de facteurs, le médecin en charge testera tous les 3 min la progression de l’anéstésie. On continuera de ressentir la pression sur la peau mais les récepteurs de douleurs sont bloqués. La jambe est fixé sur un bras hydraulique marchant à l’air comprimmé qui permet au chirurgien de controller l’inclinaison de la jambe.

Rentré au bloc, grosses desinfection, puis encore une et mise en place du champ opératoire. Les personnes se présentent oralement dans la pièce et énonce à voix haute le but de l’opération.

On bloque ou réduit l’arrivé du sang avec un garot pneumatique pour que le chirurgien voit mieux ce aui se passe dans l’articulation du genou.

Le chirurgien incise et insère la camera pour voir les dégats, l’IRM étant pour le diagnostic. Ils decident collégialement de ce qu’il faut faire et manipule le genou sans de géner de gauche à droite en forcant pour mieux voir avec la camèra et insérer entre l’articulation l’ustensile qui coupera l’os.

Puis il enlèvent le minimum du ménisque pour avoir le meilleur résultat possible. Cela peut durer de 30min à 1 heure.

Vous pouvez commencer à avoir très mal sur la fin, l’anésthésie s’estompant et vous aurez alors un complément anéstésique dans la perfusion.

Enfin lew deux trous sont cousus, on emballe la jambe pour l’asseptie et le maintien de l’articulation du genou. On vous envoie en observation le temps que l’anéstésie passe, et que vous ayez des gazs et pouvez uriner à nouveau. La position dossie relevé est à privilégier, ou mieux assise. On vous remplira de boissons pour cela: café, thé, jus de fruit, eau et il suffira de demander: c’est open bar!

La première nuit est un peu dure, pas vraiment mal mais c’est inconfortable car le genou est très enflé… il faut glacer 15min toutes les heures, le résultat est magique et immédiat. Il suffit bien dormir les jambes bien à plat, la nuit le corps semble réduire les inflammations et surtout vous ne marcher pas constament.

4 jours plus tard je faisais une heure de velo chez le physiothérapeute sans forcer, vous aurez des exercises de renforcement musculaire des cuisses, fesses, chevilles à faire.

2 semaines plus tard, je faisais une marche de 5 heures à 2400m avec 800m de denivelés négatifs et 800m positifs sur le retour au téléphérique. J’avait mal partout mais pas aux genoux :-)

L’inflamation va rester un peu douloureuse à la flexion et limiter la mobilité du genou jusqu’a deux mois environ.

Prévenir l’arthrose du genou

Bouger

le fait de bouger est important non seulement lors du traitement, mais aussi comme mesure de prévention contre l’arthrose. A cet effet, une étude indique que le vélo est une très bonne solution.

Diminuer le surpoids

Lorsque vous montez les escaliers, le poids exercé sur les ménisques, qui sont des structures de cartilage dans les genoux, peut être significatif en raison de la charge supplémentaire induite par l’effort et la mécanique du mouvement. En général, lors de la montée des escaliers, la force qui s’exerce sur les genoux peut être multipliée par 3 à 4 fois le poids corporel.

Par exemple, si une personne pèse 70 kg, les forces exercées sur ses ménisques lorsqu’elle monte des escaliers peuvent atteindre environ 210 à 280 kg, en fonction de divers facteurs comme la vitesse de montée, la posture, ou l’angle de flexion du genou.

L’excès de poids exerce une pression supplémentaire sur les articulations, en particulier sur les genoux, les hanches et la colonne vertébrale. Cela peut aggraver les symptômes de l’arthrose et accélérer la dégradation du cartilage. Une alimentation équilibrée, associée à une activité physique régulière, peut aider à maintenir un poids santé ou à perdre du poids si nécessaire, ce qui réduit la charge sur les articulations et soulage les symptômes de l’arthrose.

Pour les mêmes raisons, ne portez plus de charges lourdes sans raison (meubles, caisses).

Corriger les mauvaises postures

Pour corriger les mauvaises postures, il est recommandé de travailler avec un professionnel de la santé qualifié, tel qu’un physiothérapeute ou un chiropraticien. Ces professionnels peuvent évaluer votre posture actuelle, identifier les déséquilibres musculaires et les compensations, et vous fournir des exercices et des techniques pour améliorer votre posture et réduire la pression sur vos articulations.

Arrêter de fumer

Je ne fume pas c’est évident…

Manger de manière équilibrée

En général, adopter une alimentation équilibrée, riche en aliments entiers, fruits et légumes, protéines maigres et grains entiers, tout en limitant les aliments transformés et riches en sucre et en gras saturés, peut aider à réduire l’inflammation, à soutenir la santé articulaire et à améliorer les symptômes de l’arthrose.

Nutrition pour la santé articulaire

Certains aliments contiennent des nutriments essentiels qui peuvent contribuer à la santé des articulations et du cartilage. Par exemple, les acides gras oméga-3 présents dans les poissons gras comme le saumon et les sardines ont des propriétés anti-inflammatoires qui peuvent aider à réduire l’inflammation dans les articulations touchées par l’arthrose. De plus, les antioxydants présents dans les fruits et légumes colorés peuvent aider à protéger les cellules du cartilage contre les dommages oxydatifs.

Réduction de l’inflammation

Certains aliments peuvent contribuer à l’inflammation dans le corps, ce qui peut aggraver les symptômes de l’arthrose. Les aliments transformés riches en sucres ajoutés, en gras saturés et en acides gras trans peuvent déclencher une réponse inflammatoire dans le corps. En revanche, une alimentation équilibrée composée d’aliments entiers tels que des fruits, des légumes, des grains entiers, des protéines maigres et des graisses saines peut aider à réduire l’inflammation et à soulager les symptômes de l’arthrose.

Pour réduire les symptômes de l’arthrose et soutenir la santé articulaire, il est important d’adopter une alimentation équilibrée qui favorise la réduction de l’inflammation, renforce les tissus articulaires et maintient un poids santé. Voici quelques conseils sur ce qu’il faut manger et ce qu’il faut éviter pour gérer l’arthrose :

À manger

Aliments riches en oméga-3 : Les acides gras oméga-3 ont des propriétés anti-inflammatoires qui peuvent aider à réduire l’inflammation dans les articulations. Incluez des sources d’oméga-3 dans votre alimentation, telles que le saumon, le maquereau, les sardines, les noix et les graines de lin.
Fruits et légumes colorés : Les fruits et légumes colorés sont riches en antioxydants, tels que les vitamines C et E, qui aident à protéger les cellules du cartilage contre les dommages oxydatifs. Optez pour une variété de fruits et légumes, y compris des baies, des agrumes, des épinards, des poivrons et des carottes.
Aliments riches en calcium et en vitamine D : Le calcium et la vitamine D sont essentiels pour la santé des os et des articulations. Incluez des sources de calcium telles que les produits laitiers faibles en gras, le tofu, les amandes et les légumes à feuilles vertes. Assurez-vous également d’obtenir suffisamment de vitamine D en passant du temps à l’extérieur et en consommant des aliments enrichis ou des suppléments si nécessaire.
Aliments riches en collagène : Le collagène est une protéine structurelle qui aide à maintenir la santé des articulations et du cartilage. Des aliments tels que le bouillon d’os, le poulet avec peau, le poisson, les œufs et le collagène hydrolysé peuvent aider à fournir les nutriments nécessaires pour soutenir la régénération du cartilage.
Grains entiers : Les grains entiers fournissent des fibres, des vitamines et des minéraux qui sont importants pour la santé générale et peuvent aider à maintenir un poids santé. Choisissez des options comme le riz brun, l’avoine, le quinoa et le pain complet.

À éviter

Aliments transformés : Les aliments transformés riches en sucres ajoutés, en gras saturés et en acides gras trans peuvent déclencher une réponse inflammatoire dans le corps et aggraver les symptômes de l’arthrose. Évitez les aliments frits, les fast-foods, les collations emballées et les desserts sucrés autant que possible.
Viande rouge et charcuterie : La consommation excessive de viande rouge et de charcuterie peut être associée à une inflammation accrue et à un risque accru de développer des maladies chroniques. Limitez la consommation de ces aliments et optez plutôt pour des protéines maigres comme le poulet, la dinde et le poisson.
Produits laitiers riches en gras : Les produits laitiers riches en gras peuvent contenir des acides gras saturés qui peuvent augmenter l’inflammation dans le corps. Choisissez des options laitières faibles en gras ou sans gras, comme le lait écrémé, le yaourt grec sans gras et le fromage à faible teneur en matières grasses.
Aliments riches en sucre : Les aliments riches en sucre ajouté, tels que les sodas, les bonbons, les pâtisseries et les desserts, peuvent contribuer à l’inflammation et aggraver les symptômes de l’arthrose. Limitez votre consommation de ces aliments et optez plutôt pour des choix plus sains comme les fruits frais pour satisfaire votre envie de sucré.

Santé générale

Une alimentation équilibrée fournit à votre corps les nutriments dont il a besoin pour fonctionner correctement. Cela comprend des vitamines, des minéraux, des protéines et des fibres qui soutiennent la santé globale, y compris celle des articulations. Une alimentation déséquilibrée peut entraîner des carences nutritionnelles qui peuvent affecter la santé des articulations et aggraver les symptômes de l’arthrose.